Lorette Goosse comédienne

Lorette Goosse comédienne professionnelle depuis mes 21 ans,

j’ai un long parcours théâtral dans le répertoire classique comme contemporain.

En Belgique, j’ai créé de nombreux premiers rôles, interprété des personnages comiques et dramatiques, ainsi que coécrit diverses pièces. Je me suis démarquée dans la création de 5 seule-en-scène que j’ai diffusés et joués de par le monde.

J’ai tourné dans plusieurs films et séries télévisées dont la dernière en date est Alien Kermess dans laquelle je suis Thelma, un des rôles principaux. Cette série de 6 épisodes est visible sur la RTBF-Auvio en replay.Je prêtre ma voix régulièrement pour doubler des dessins-animés et des fictions comme Gloria dans Orange is the new black.

Actuellement, dans Encore, encore, encore… j’interprète la comédie de ma vie amoureuse houleuse, une création récente et une carte blanche du Théâtre des Muses de Monaco pour le plus grand plaisir des spectateurs bruxellois ou français 

Mon dernier Seule en scène

Encore toute enjouée d’être l’interprète des 14 personnages de « La liste de mes envies » d’après le roman à succès de Grégoire Delacourt, me revoici sur scène encore plus excitée à l’idée de vous confier le récit rocambolesque de mes déboires amoureux ! Car si la liste est longue et le parcours chaotique, croyez-moi, le résultat est des plus comique!

En effet, j’ai toujours été cocue ! C’est magnifique ! Trompée, trahie, abandonnée, mal aimée, larguée, « ghostée », le résultat est le même, je vais à nouveau vivre seule ! Et déjà je me demande avec qui je vais vivre de nouveau ? En effet, quoi de plus beau, de plus grand et de plus vibrant que l’Amour absolu avec un grand… Z comme Zorro est arrivé sans se presser ?

Etre comédienne, blonde, souvent intelligente et fière d’être une femme d’ aujourd’hui, me permet d’ enfoncer bien profond le clou dans le flanc de ce géant aux pieds d’argile, j’ ai nommé l’indispensable à ma quête désespérée de bonheur : « l’ homme de ma vie ! »

Autant vous prévenir tout de suite, je suis un cœur à prendre… Un cœur qui veut encore « apprendre ». Encore, encore, encore…

Bandes annonces et extraits de spectacles

Le mot d'Anthéa Sogno, directrice du Théâtre des muses de Monaco

« Lorette est un phénomène comique célèbre en Belgique, à rencontrer de toute urgence ! Vous l’aviez découverte et forcément aimé dans «La liste de mes envies» de Grégoire Delacourt. Quoi qu’elle me raconte, et je dois l’avouer, plus particulièrement ses mésaventures amoureuses, elle me fait rire aux éclats. Soyez les premiers à profiter de ce partage, de ce récit-témoignage que je l’ai convaincu de produire sur scène. En riant de ses expériences, nous rirons aussi de celles qui nous sont arrivées sans que nous sachions en tirer une matière comique. Grâce à elle, nous apprendrons, soit ce à quoi nous avons échappé, soit ce qui risque de nous arriver… » 

Le mot de Cathy Thomas, directrice du Fou rire théâtre de Bruxelles

« Lorette, une comédienne  « à part » et qui ne laisse personne indifférent. Bien connue dans le milieu artistique belge, elle rayonne d’une originalité et d’une aura scénique hors du commun, presque magnétique. Atypique par sa personnalité et ses choix artistiques, elle se démarque par une classe naturelle qui transcende ses prestations. Sa diction élégante et résolument féminine ajoute une touche singulière  à chacun de ses rôles. Elle captive, intrigue, et fait vibrer à travers des performances qui sortent des sentiers battus. Lorette c’est déjà à elle seule tout un poème … Je l’aime … » 

Le mot de Grégoire Delacourt, auteur de la liste de mes envies

« C’est pour moi toujours très émouvant lorsqu’un texte s’en va et croise le désir de quelqu’un d’autre. Soudain, les mots du livres s’échappent, trouvent refuge ailleurs, se donnent à entendre différemment. Ils s’enrichissent du talent de l’autre. C’est une nouvelle fois la chance qui arrive à La Liste de mes envies, celle d’être transfigurée. Lorsque Lorette Goosse est venue me voir, je savais qu’elle était Jocelyne. Elle était à la fois la mienne, mais aussi la sienne. Elle allait éclairer, révéler celle que j’avais écrite sous la lumière de la comédie, de la facétie et, au fond, de l’immense tendresse des femmes. Lorette s’est longtemps battue pour que cette pièce existe, elle y a cru dès le premier jour, elle est restée fidèle à elle-même, jusqu’à aujourd’hui. Quand je vous disais qu’elle était Jocelyne. »